Top 10 polars Été 2011
Daniel Marois collaboration Christophe Court
http://fr.aol.ca/tag/polars/401/
Posté le 2/8/11
Voici le top 10 des polars qui vous tiendront en haleine, beau temps et mauvais temps. Choisissez un de ces meilleurs romans policiers pour vous délecter d'histoires de mafia, de violence, de meurtre… Bon Été !
1. La maison où je suis mort autrefois de
Keigo Higashino (Japon, 2010)
Malgré tout le courant scandinave, c'est un
roman japonais qui coiffe cette liste. S'il y avait un prix d'excellence
couronnant une décennie de polar, celui-ci serait finaliste. (DM)
2. Zulu de Caryl Férey (France, 2008)
Regard cauchemardesque sur l'Afrique du Sud:
drogues, sida, racisme, violences. L'apartheid est terminé; les inégalités
demeurent. Une vision apocalyptique que doit affronter Ali Neuman, policier
noir du Cap, pour retrouver l'assassin d'une jeune blanche. (CC)
3. Vendetta de R.J. Ellory (États-Unis, 2009)
À travers le témoignage d'un présumé assassin
et kidnappeur, l'auteur relate l'histoire de la mafia américaine. Ernesto
Perez, personnage central, dégoûte autant qu'il fascine. Amorale, crue,
brutale, la vengeance est au cœur de l'histoire. (CC)
4. L'écho des morts de Johan Theorin (Suède,
2010)
Un roman qui se lit comme un voyage éclair
sur le bord de la mer baltique. L'histoire, fantastique en apparence, se
transforme en thriller ou toute les pistes convergent dans une finale ficelée
comme un saucisson. (DM)
5. Dôme de Stephen King (États-Unis, 2011)
Imaginez une petite ville du Maine enfermée
sous un dôme où s'affrontent le bien et le mal. Dès les premières pages, le
lecteur a l'impression d'être familier avec les personnages, de faire partie
intégrante du roman. Difficile d'en sortir! (CC)
6. L'hypnotiseur de Lars Kepler (Suède, 2010)
Drame familial d'une rare violence: une
famille massacrée, un hypnotiseur au passé trouble, le rapt d'un enfant
hémophile... Un roman captivant. Une course effrénée dans un labyrinthe urbain.
(DM)
7. La nuit la plus longue de James Lee Burke
(États-Unis, 2011)
La civilisation telle qu'on la connaît ne
tient pas à grand-chose. L'enquête que mène Dave Robichaux pour trouver les
coupables du meurtre de deux jeunes noirs sert d'excuse pour décrire le monde
apocalyptique que l'ouragan Katrina a amené avec lui. Aucune règle ne tient.
C'est la loi du plus fort! (CC)
8. La guerre des vanités de Marin Ledun (France,
2010)
Premier roman dans la série noire, première
réussite. Une petite ville de province. Des ados qui se suicident. Une enquête
classique menée par un lieutenant cancéreux. Pédophilie, hasard, essai
clinique. Que cachent donc les habitants hormis leur ennui? DM)
9. Enfant 44 de Tom Rob Smith
(Grande-Bretagne, 2009)
Un policier soviétique essaie de trouver un
tueur en série sous le règne de Staline. On nous dépeint une société noire où
la méfiance, la délation et le doute règnent en maître. Il n'y a rien de joyeux
dans cette société minée par les persécutions de la police secrète
«stalinienne». La différence entre un criminel et l'autorité est très mince. Ce
roman est un beau résumé de la société soviétique dans ses jours les plus
torturés et absurdes. (CC)
10. Le Tailleur de pierre de Camilla Lackberg
(Suède, 2009)
Troisième volet des aventures d'Erica Falck, ce roman se distingue par une enquête solide dans un milieu sordide. Une atmosphère oppressante du début à la fin. Bouillonnant! (DM)
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